~Byakuya Kuchiki,Maître des Cerisiers~

Nom du personnage : Kuchiki Byakuya

age du personnage : Plusieurs Siècles

bon ou mauvais : Bon

Physique : Un seul terme pourrait prétendre à résumer ce que dégage Kuchiki Byakuya, au premier coup d'oeil : classe. Hautement distingué aussi bien par le rang que par l'apparence, le capitaine de division dispose d'attributs symbolisant sa condition d'homme de haut rang. A commencer par le Kenseikan, parure trouvant sa place dans son cuir chevelu. A l'avant de la crinière sombre de Byakuya, l'on trouve un genre de tunnel tripartite, divisant sa chevelure en autant de mèches retombant vers son front, bien que tanguant souvent au gré de sa démarche imposante. Sur le côté droit, peu au-dessus de son oreille, une autre forme de tuyaux, mais bipartite cette fois. Cet apparat n'est pas le seul à contribuer à l'unicité de celui qui appartient à l'aristocratie. Effectivement, le Ginpakukazaharu, coloré d'un magnifique vert pâle, est là pour rappeler à chacun que Kuchiki-dono n'est pas qu'un simple taishoo parmi les autres. Symbole de faste et de richesse, c'est le moins que l'on puisse dire au sujet de ce long foulard fait d'une soie exceptionnelle, étant donné qu'il vaut non moins de dix demeures luxueuses. On devrait sa fabrication à un certain Sandai Kyrourumon Fujishiro, pour l'anecdote. A la manière des mèches composant la devanture de la chevelure de Byakuya, ledit foulard tangue agréablement au rythme des pas de son détenteur, ce qui accentue l'impression de classe et de détachement qu'il dégage.

Du reste, à une échelle plus immédiate de la description physique de Byakuya, l'on peut noter qu'il dispose d'un visage dont les traits sont perpétuellement tirés. A croire que ses muscles zygomatiques ne lui sont d'aucune utilité. Son regard, constamment appuyé, laisse paraître deux iris teintés d'un gris légèrement bleuté. Quant à sa corpulence et sa carrure, l'on peut en dire qu'elles sont à la hauteur de sa prestance. Ce qui lui permet, entre autres, d'exceller dans tous les domaines et de disposer de capacités physiques transversales plus qu'appréciables. Comprenons par là qu'il n'est ni trop grand, ni trop petit. Ni trop musclé, ni trop maigre. Et ainsi de suite. Pour finir - et ce n'est nullement une surprise -, on le découvre la plupart du temps vêtu des habits propres aux taishoos, à savoir l'ensemble noir dévolu aux Shinigamis de tout rang, par-dessus lequel resplendit une longue veste blanche, frappée du sceau de la division à la tête de laquelle il figure : la sixième.

Caractère : A proprement parler d'unicité et de distinction, de classe, ... C'est sans doute à ce niveau-ci que se fait la cassure entre Byakuya et le commun des personnages peuplant les shonens. ^^ Bien que disposant d'un passé pour le moins douloureux et propice à nombre de tortures, de maux, ... Il n'en laisse rien paraître et a la force, le courage de faire face à la chimère représentée par la disparition d'Hisana. Nul doute qu'il en est affecté, pourtant. Pour preuve, il tiendra sa promesse et continuera à la chérir, l'aimer, ... au-delà de la vie, alors qu'un homme de son rang aurait aisément pu trouver une autre compagne, verser dans l'oubli, ... Cette fidélité, doublée d'une permanence à soi hautement admirable, dépare sans doute avec les signes les plus manifestes du caractère de Byakuya, à savoir celui d'un homme froid, hautain, inaccessible, ... voire méprisant. Pourtant, sous ce qui n'est toutefois pas une façade trompeuse, l'on trouve la justesse et la pureté propres aux grands hommes. Une justesse qui le pousse à laisser tomber le masque, lorsque ceux qui faisaient l'objet de son mépris parviennent à détourner un temps soit peu son regard des sommets sur lesquels il se trouve perché. Une pureté qui le pousse à oeuvrer pour la justice, pour le bien commun et surtout, à accorder une importance primordiale aux engagements pris, aussi tacites soient-ils.

Par ailleurs, le Roku Ban Tai Taishoo est sujet à une profonde mélancolie, celle-là même qui l'accompagne en tout temps, en tout lieu, en toutes circonstances ... Le détachement et la froideur qu'il émet par nature en sont autant de branchements, tout comme ils en sont la source. Cette mélancolie peut s'expliquer par le caractère solitaire des ouailles de la noblesse, mais ce serait en limiter les origines. Byakuya n'est pas le genre d'homme à poursuivre une quelconque quête du bonheur, pas plus qu'il ne se laisse passivement emporter par les dérives du cours des choses, du temps, ... Peu enclin à adopter des référents tels que le destin ou le hasard, il n'en est pas moins porteur d'un sens des valeurs auquel il est totalement assujetti, y plaçant une foi totale, faisant de sa force de caractère un élément prépondérant dans son attitude, son comportement, ... Il détient ainsi la plus grande des forces, celle qui lui permet de ne pas ployer face au plus grand nombre. Il a bien assez foi en lui-même et en ses convictions profondes que pour ne pas verser dans le doute ni tergiverser en quelqu'occasion que ce soit. Ce qui le rend assez inébranlable et, par là même, impénétrable, pas même pour ses plus proches subalternes.

Enfin, pour en revenir au comportement de Byakuya, il est peu dire qu'il n'est aucunement loquace, encore moins avenant. Concis à souhait, il s'exprime tout autant - si ce n'est plus - par le biais de son regard et de son " aura " qu'au moyen de la parole. Son timbre de voix laisse entrevoir des bribes de ce qu'on apparente communément à du dédain, tant il est monocorde. Par ailleurs, ses propos ne manquent pas d'être aussi incisifs que cyniques lorsque les circonstances s'y prêtent. C'est une façon comme une autre de réaffirmer son rang et sa supériorité. Dans le même ordre d'idées, il attache une certaine importance au respect des codes d'usage, que ce soit dans son chef ou dans celui des autres. N'ayant pas l'habitude de faire l'objet d'appellations familières, il s'offusque lorsqu'on omet d'apposer un suffixe à son nom ou à son prénom. Ainsi est-il, attaché à la tradition et extrêmement ferme sans pour autant être pointilleux. L'exemple prime sur la perfection, qui est une visée avant tout. Une façon comme une autre de résumer sa conception des affaires courantes.

Histoire : Né dans l'une des quatre grandes familles nobles que compte la Soul Society, Byakuya fut rapidement destiné à devenir le prochain leader de la famille Kuchiki. Alors que le clan Shiba avait connu un profond déclin doublé d'une déchéance certaine et que les Shihouin avaient intronisé leur nouveau leader, les siens étaient à un tournant. En effet, parallèlement au monde fermé de l'aristocratie, la Soul Society évoluait lentement mais sûrement et la fondation de l'académie, des oeuvres de Yamamoto Genryuusai Shigekuni, avait amené la noblesse à collaborer de plus en plus étroitement avec les hautes sphères du Gotei 13. Ainsi, il semblait qu'une autre priorité se dessinerait dans le cheminement de Byakuya vers sa position de leader du clan ... En l'occurence, il devrait briller au sein de ladite académie, jusqu'à ce qu'il obtienne, au sein des corps d'armes, un grade digne de son rang. Exceller dans tous les domaines, demeurer irréprochable en toutes circonstances et préserver la force tranquille des Kuchiki, tels étaient les trois mots d'ordre de celui qui n'était alors qu'un Shinigami parmi les autres, quoique forcément remarqué au beau milieu de la masse. De sa naissance ... jusqu'à ce qu'il ait rendu son dernier souffle, il devrait ainsi se conformer aux codes d'honneur et autres stigmates de l'exemplarité en vigueur. Cela aurait pu paraître monotone dès le départ, mais fort heureusement, la vie réserve bien des surprises. Y compris dans le monde fermé de la Soul Society. Il était écrit que l'héritier de la vingt-huitième génération de l'une des quatre familles verrait sa route croiser celle de l'inattendu, du bonheur et de la peine ...

Plus tard, alors qu'il avait déjà accédé à l'une des 13 divisions en charge du maintien de la paix et de l'exercice de la justice, Byakuya rencontra une jeune femme ... Cela aurait pu être tout à fait banal s'il ne s'était agi d'une habitante du Rukongai. Plus qu'un choc des extrêmes, il y eut lieu d'en parler comme d'un coup de foudre. Elle répondait au prénom d'Hisana. Cette jeune femme fut le déclencheur d'une série d'évènements étalés sur plusieurs années pour Byakuya. Le bonheur en fut le premier, accouplé à la transgression d'un premier interdit du code noble. En effet, au bout de quelques années passées aux côtés d'Hisana, Byakuya l'épousa et l'éleva donc, elle aussi, au rang de noble. Et ce, bien que la majorité des membres du clan s'y étaient fermement opposés, y allant de leur vindicte tout à fait conservatrice ... C'est dire s'il tenait à elle, à son amour. Un amour dont elle était la source et la cible, le tenant et l'aboutissant. Ce simple mot, jusqu'alors futile aux yeux du noble, lui apparaissait comme une réalité surpassant les rêves et les songes. Car la personne qu'il avait trouvée et qui l'avait trouvée incarnait, pour lui, la plus belle des merveilles de l'univers, ainsi que le plus précieux des trésors. Il décida, envers et contre tout, de la préférer à tout ce qu'on lui avait inculqué depuis tant d'années. Cette démarche fut couronnée d'un bonheur accru, tant sa présence lui apportait apaisement et réconfort, ainsi sans doute qu'une fuite de la monotonie, une rupture avec les us et coutumes redondants. Il aurait pu regarder le temps passer encore et encore sans s'en soucier, uniquement parce qu'elle était là, auprès de lui. Alors qu'il avait été éduqué dans le but de ne jamais faire parler de lui - et donc des Kuchiki - en mal, il s'était écarté du droit chemin ... juste pour elle, car il voulait d'un avenir avec Hisana. A dire vrai, ce n'était pas tant par rébellion envers les valeurs traditionnelles, mais bien par volonté propre, découlant de la nature du lien qui le rattachait à elle. Pour celui qui possédait richesses, faste et considération, la vérité était ailleurs, dans la protection de ce à quoi il tenait plus qu'à toute autre chose ... Hisana. Un prénom qui ne cessera de résonner dans son coeur sis dans la glace, le réchauffant ainsi via cet amour réciproque.

Hélàs, les meilleurs choses ont une fin. En l'occurence, la fin de leur histoire survint sans doute trop rapidement. Hisana, souffrante et malade depuis un bon moment déjà, ne pouvait plus demeurer aux côtés de son époux tout en étant celle qu'il avait aimée autrefois, pleine de vie et d'entrain. Clouée nuit et jour à son lit, elle ne pouvait désormais plus lui offrir que son sourire, cachant maladroitement la tristesse qu'elle éprouvait. Au fil des jours, son regard se faisait lui aussi de plus en plus douloureux, comme marqué par les profondeurs qui l'entraînaient vers elles. Et ce qui devait arriver, arriva ... Avant de s'en aller à jamais, emportée par la mort, Hisana se confia à Byakuya, à propos de la peine qu'elle éprouvait, qu'elle avait renfermée des années durant. Il apprit ainsi qu'elle avait abandonné sa jeune soeur, Rukia, au sein du Rukongai. Hisana se détestait pour le simple fait de s'être à ce point montrée égoïste. Elle pensait survivre et s'en sortir plus facilement dans cet univers hostile, sans avoir une jeune soeur à sa charge. Et les hasards de la vie mirent Byakuya sur sa route ... Celui-là même qui lui offrit bonheur et joie pendant des années qui parurent pourtant si courtes, trop courtes ... Tout le long, elle ne fit que culpabiliser tant et plus envers Rukia. Et au moment de remercier Byakuya pour lui avoir apporté cette vie de rêve, pour l'avoir choisie elle parmi tout ce monde, elle ne put se résoudre qu'à lui demander d'offrir ce privilège à Rukia. Elle lui demanda donc de la retrouver afin qu'elle puisse jouir de cette vie aux côtés de l'homme à qui elle s'était donnée pour la vie, tout comme l'inverse était vrai. Ce dernier, qui n'était forcément pas insensible à la requête de sa bien-aimée, lui promit de faire en sorte que son voeu soit exaucé. Sans doute avait-il perçu la dernière bouffée de chaleur accompagnant cette requête. Et leur adieu se fit dans ces circonstances, sans pour autant que le fil rouge ne se brise ni ne se désagrège par après ... Hisana put s'en aller apaisée, heureuse d'avoir partagé ce peu de temps auprès de cet homme. Lui, renferma la tristesse qu'il pouvait éprouver au plus profond de son être. Ce qui lui importait désormais, était d'ajouter l'acte à la parole. Afin que celle qui lui avait offert ce bonheur puisse vraiment n'avoir aucun regret, même décédée.

Les recherches commencèrent et furent rudement menés. Au bout de quelque temps, Rukia fut retrouvée par les Kuchiki. Elle était étudiante à l'académie et il ne fut dès lors pas trop ardu de la contacter. Il lui fut proposé d'être adoptée en tant que soeur de Kuchiki Byakuya, connu de par la Soul Society comme étant l'austère capitaine de la 6ème Division, mais aussi le chef de l'une des quatre grandes familles nobles. La rencontre eut lieu ... Byakuya ne fut pas étonné qu'elle ressemble autant à Hisana, bien que ne laissant aucune émotion transparaître, pas même les bribes d'une nostalgie bel et bien présente. Sans doute était-ce là un signe. Alors que certains auraient souffert de revoir le visage de l'être chéri et perdu, il en fut soulagé. Hisana demeurerait à ses côtés à travers Rukia, de même que le fil de leur promesse les rattacherait éternellement. Certes, bien des cicatrices auraient pu s'éveiller à la vue du sosie de celle qui possédait la clé de son coeur. Mais il n'en fut rien, car Hisana était unique, irremplaçable .. Nul doute ne parcourait les pensées de Byakuya à ce sujet.

Une fois que les quelques détails administratifs nécessaires à l'adoption de Rukia par les Kuchiki furent réglés, elle fut intégrée à la 13ème division en tant que simple Shinigami. Elle en avait largement le potentiel, mais tous se mirent en tête que c'était le simple fait de son accession au rang de noble. Byakuya, lui, resta inflexible dans sa relation avec Rukia, instaurant entre eux une barrière indicible, nullement innocente cependant. Elle ne s'en plaignit pas une seule fois, le considérant comme son Nii-sama avec les égards en découlant. En fait, le comportement de Byakuya trouvait sa source dans une seconde promesse, celle-là ayant été faite à ses parents sur leur propre tombe. Il se savait redevable de certaines choses envers eux et l'intention émana de lui-même, sans que personne n'en sache rien. Après que l'adoption de Rukia au sein de la famille Kuchiki fût officialisée, Byakuya se rendit dans le cimetière privé du clan et prit le temps de s'entretenir avec ses parents ... S'ensuivit la promesse de ne plus jamais aller à l'encontre des règles, de la justice, du droit chemin. Cette promesse était sans doute plus forte que tout tant ses racines étaient, elles aussi, fortes. A partir de cet instant, Byakuya fut l'incarnation de la justice irréversible, d'une marche en avant pleine de confiance et de foi. Ce n'était pas tant le désir d'être parfait que son souci de rédemption et d'accomplissement des tâches dûes à son rang qui l'amenèrent à ne plus jamais dévier du droit chemin. Leitmotiv noble et pur s'il en est, il lui conféra une force supplémentaire, laquelle s'accoupla magnifiquement à la froideur et au détachement dont il faisait perpétuellement montre. Ainsi fut-il l'exécutant consciencieux des tâches incombant à son statut de Roku Ban Tai Taishoo. Bien que peu coloré et oscillant entre bien et mal, entre justice et méfaits, ce monde en noir et blanc comportait quelques étoiles qui rappelaient au noble que quelqu'un l'attendrait au bout de ce chemin. Dès lors, il ne lui restait plus qu'à y avancer sans défaillir ni en dévier. Cependant, il ne savait pas encore qu'il aurait un jour à confronter les deux promesses faites ...

Description du Zampakûto :A n'en pas douter, Senbonzakura - Un millier de cerisiers - est la référence absolue en termes de Zanpakutô de type dispersion. Bien plus démonstratif que son détenteur, du moins sous ses formes libérées, cet instrument de " travail " présente une bien belle combinaison, rassemblant les deux polarités que sont l'attaque et la défense. Un peu à l'image de Byakuya, imperturbable de sérénité et que rien ne semble atteindre. Composé d'une garde rectangulaire subdivisée en quatre autres rectangles, son manche est entouré de tissus d'une couleur semblable à celle des iris de son propriétaire. Sa lame, enfin, n'est pas des plus longues, mais reluit d'un éclat digne du capitaine le plus distingué.

¤ Shikai : Il l'active en prononçant les termes " Chire, Senbonzakura ! ". Tenant le Zanpakutô à la perpendiculaire face à son visage, lame pointée vers le haut, il n'a plus qu'à admirer la maestria avec laquelle ladite lame se disperse en un millier de (sous-)lames invisibles à l'oeil nu, mais dont le reflet est si éblouissant qu'elles apparaissent telles des pétales de cerisier flottant à mi-hauteur. Elles n'en sont pas moins faites pour l'offensive, tant leur pouvoir est conséquent, leur permettant notamment de déchiqueter / pourfendre quiconque se dresse sur leur chemin.

¤ Bankai : Répondant au nom de Senbonzakura Kageyoshi - L'ombre de l'éclat de mille cerisiers -, il s'agit là, pour caricaturer, de la version XXL du Shikai de Byakuya. Concrètement, les " pétales " convergent en masse vers l'aristocrate et constituent un socle de défense impénétrable, tout en lui offrant la possibilité d'attaquer par vagues. Qu'elles soient éparses ou plutôt longilignes, peu importe, car Byakuya est à même de les diriger par le simple biais de la pensée. Ainsi protégé derrière un premier rempart teinté de la couleur des pétales de cerisier, il peut attaquer à distance. Chose qu'il peut faire encore plus vite et avec plus de précision, dès lors qu'il a recours à ses mains afin de diriger les mouvements des multitudes de lames composant le Senbonzakura initial.

Toutefois, ceci n'est encore que la forme " basique " de son Bankai, deux techniques y rattachées étant à sa disposition.

--> Le Senkei a pour effet de rassembler les lames sous la forme d'une multitude d'épées, lesquelles constitunt un dôme l'entourant, de même que son adversaire. Il lui est ainsi tout à fait loisible d'avoir recours à une ou à plusieurs des lames pures qui l'encerclent, mais fidèle à ses principes, il se contente de faire appel uniquement à l'une d'entre elles, les autres faisant en quelque sorte office de décorations imposantes.

--> Le Shuukei ~ Hakuteiken - Epée blanche impériale - est son attaque ultime, issue de la précédente. Grosso modo, les milliers d'épées se rassemblent et forment des espèces d'ailes lumineuses, scintillant dans le dos de Byakuya. Au même instant, il tient dans ses mains une lame qui condense toute l'énergie offensive de Senbonzakura. Cette technique est pour le moins éblouissante, aussi bien au plan de l'esthétique qu'au plan de l'efficacité. Sans doute est-elle à même de restituer toute la majesté du personnage.

A noter, tout de même, que Byakuya prône le caractère assez mythique du Bankai comme étant quelque chose qui lui tient à coeur et qu'il ne faut pas prendre à la légère. De fait, il ne dévoile le sien qu'en cas d'absolue nécessité et ceux qui ont eu l'honneur de le voir se dévoiler à leurs yeux ne sont malheureusement plus là pour attester de sa magnificence.

(Pourrais-je être un maître?)

alors ca pour une présentation... c'est une sacré présentation

bienvenue

Merci .

Désolé pour le Zampakûto,j'ai pas pu résister

super ta présentation juste une remarque c'est interdit de faire des doubles post bon c'est pas grave sinon bienvenue

Je ne veux pas te vexer,mais j'ai fait deux posts car sinon,ca ne passait pas,le texte était trop long ! Donc j'ai fait en deux parties,je pense que ce n'est pas grave si c'est pour celà..

Je ne fais jamais de doubles posts,hormis si ce que je mets est trop long..

Enfin..

Je suis un Maître ??

ah heu oui tu a raison bon ce n'est pas grave non pour l'instant tu es un combattant individuel